mardi 12 juin 2007

E-mail au CSA

Madame, Monsieur,

J'étais candidat dans la première circonscription de Tarn et Garonne sous l'étiquette "LA FRANCE EN ACTION"

Dans la publication des résultats, tous les médias notent au droit de chaque candidat son appartenance (parti communiste, front national, parti socialiste...)

Dans mon cas, ils notent systématiquement "divers" au lieu de "La France en Ation"

Je vous saurai gré de m'expliquer cette différenciation et de faire obligation aux dits médias de diffuser mon appartenance comme pour les autres candidats.

Je vous prie de croire, Madame, Monsieur, en mes cordiales salutations.

Daniel LACROZE-MARTY
Candidat LA FRANCE EN ACTION

dimanche 10 juin 2007

Remerciements législatives

Communiqué de presse
Daniel LACROZE-MARTY – LA FRANCE EN ACTION
Je remercie tout d’abord Luciana qui s’est engagée avec courage à mes côtés dans cette campagne législative.
Je remercie tous ceux et toutes celles qui m’ont fait confiance en soutenant le programme de LA FRANCE EN ACTION. Notre score est honorable, il est le reflet d’une volonté d’un renouveau dans la politique.
Dimanche prochain, nous sommes appelés à nouveau aux urnes.
LA FRANCE EN ACTION et moi-même, défendons des valeurs fortes de tolérance, de partage, d’honnêteté… ;
Nous sommes partisans d’une politique riche de ses individus, nous sommes contre le cumul des mandats ;
Je milite avec ferveur pour la liberté d’expression, pour le respect d’opinion de chacun ;
LA FRANCE EN ACTION est un parti qui se démarque du clivage gauche-droite ;
En conséquence de tous ces aspects (et de bien d’autres), je ne donne aucune consigne de vote pour le second tour.

samedi 28 avril 2007

Législatives 2007

Avec LA FRANCE EN ACTION, je suis candidat aux législatives 2007 dans la première circonscription de Tarn-et-Garonne

http://www.dlm-election-legislative-2007.blogspot.com/

Un grand merci à toutes celles et tous ceux qui m'ont soutenu dans cette campagne.

Daniel LACROZE-MARTY

samedi 3 mars 2007

Méthodologie

Nous vivons dans un monde qui n’est pas parfait. Notre société est l’invention des Hommes. Nous vivons dans une société hiérarchisée où certains commandent et d’autres sont commandés.
Notre vie politique est gérée par des Constitutions étatiques, des Traités internationaux…
Nous sommes dans un pays qui se dit démocratique et les citoyens élisent des représentants sensés nous représenter.
Nous attendons d’eux qu’ils gouvernent notre pays et par-là même, notre vie. Sauf que nous ne sommes pas toujours d’accord avec eux !
Au gré des élections, nous élisons des personnes de sensibilités différentes et l’alternance politique est bien ancrée dans notre pays.
Sauf que nos problèmes ne se résolvent pas, bien au contraire. Il n’y a qu’à voir la hausse des sans-emploi, des sans-logis, des mal bouffe, des revenus insuffisants, de la paupérisation chronique…
… Et nos politiciens ont toujours le sourire en affirmant « j’ai la solution, je vous le promets… ». Droite, gauche, gauche et droite, droite, droite et gauche, droite… depuis trente ans il semble bien que la voie dans laquelle nous sommes échappe à nos élus de tout bord.
Il y a des gens qui ont faim : les restos du cœur,
Il y a des gens mal logés : Emmaüs,
Il y a des gens sans argent : R.M.I.,
Il y a des gens mal soignés : C.M.U.,
Il y a des gens sans travail : ASSEDIC,

Que de pansements pour cacher les plaies… mais les plaies y sont toujours, la gangrène guette…
La politique de nos élus est-elle de soigner ou de guérir ?
Soigner : donner des soins à un malade.
Guérir : débarrasser d’une maladie.
Nous voyons bien que si nous attendons une guérison, nos élus ne nous proposent que des soins sans garantie.
Et si cette voie dont je parle plus haut, n’était pas celle de nos élus ?
Et si cette voie dans laquelle nous sommes était celle voulue par quelqu’un d’autre ? Par les dirigeants des multinationales (et d’autres) par exemple ?
Et si nos élus n’étaient là que pour nous soigner des dommages collatéraux provoqués par la politique de l’argent ?
Y a t-il une finalité dans le système qui régit notre société ?
Si nous reconnaissons que l’arrivée tardive des Alliés lors de la seconde guerre mondiale (après que l’Europe se soit bien auto-mutilée), que l’actuelle guerre en Irak, et bien d’autres événements tragiques à travers le monde depuis plus d’un siècle (Afghanistan, Vietnam, Bosnie…) ne sont pas le fruit du hasard mais font bien partie d’une volonté d’individus (au travers d’un État) de dominer le monde, alors nous aurons fait un grand pas en avant pour remédier à cet état de fait : connaissant la cause, nous pouvons proposer un remède.
Ces événements ne sont pas le fruit du hasard, ils sont incorporés dans un ensemble de domination du monde. Cet ensemble n’est ni plus ni moins qu’un projet, un projet de domination.
À l’encontre d’un projet de domination, nous devons proposer un projet de partage.
La réussite passe par la conception d’un projet : pas de projet, pas de réussite. Notre société est à notre image… passivité dans le projet d’autrui ou activité dans notre projet, à nous de choisir.
Pour mener à bien un projet, il est nécessaire de définir des objectifs, c’est la phase 1. Ces objectifs répondent aux questions : « comment voulons-nous vivre, dans quelles conditions ? », « quelles contraintes sommes-nous prêts à consentir » (n’oublions pas que nous vivons en société)…
« Diminuer les impôts », « augmenter les minima sociaux »… ne sont pas des objectifs, seulement des moyens pour atteindre un ou des sous-objectifs : réduire la pauvreté…
Les objectifs clairement définis, nous pouvons définir les moyens (matériels, économiques, politiques, humains…) à mettre en œuvre pour atteindre nos objectifs (phase 2). Nous pouvons quantifier ces besoins et les programmer dans le temps.
Nous nous rendrons compte de l’interaction des décisions : plus d’une chose, c’est moins d’une autre… des choix seront à définir.
Une nouvelle voie, la nôtre, est ainsi proposée aux citoyens… il ne nous restera plus qu’à mettre en œuvre notre projet (phase 3)… mais là, nous saurons où nous irons et avec qui nous irons. Pour mettre en œuvre notre projet, nous passerons par la case « élection ». Avec un projet clair, compréhensif par tous, nous aurons toutes les capacités pour le présenter aux électeurs. D’autant plus que durant la phase conceptionnelle, nous les aurons sollicités.
Pour parachever un projet, il est impératif de passer par la case « bilan » (phase 4). C’est la phase de responsabilité de l’élu : a-t-il bien accompli sa mission ? Quel en est le résultat ? Faut-il réaménager le projet ? C’est la rétroaction, le temps de l’analyse, des mises au point, de l’évolution du projet (retour à la phase 1).
Ne proposer que des pansements pour palier aux manques actuels (chômage, santé…), c’est finalement accepter le projet des autres et ne gérer que les « dégâts collatéraux », catastrophiques pour nos concitoyens. Ce qui ne veut pas dire qu’il faut négliger cette urgence, des millions de gens sont dans la souffrance, donnons-leur du poisson et apprenons-leur à pêcher.

3 mars 2007
Daniel LACROZE-MARTY

lundi 26 février 2007

Union des candidats émergents

J'ai rejoins l'Union des Candidats Emergents, candidats unis pour l'élection présidentielle autour de Monsieur Jean-Marc GOVERNATORI.
Au-delà de tout clivage politique, nous proposons une voie qui répond aux attentes de nos concitoyens : l'emploi, la santé, l'éducation...

Visitez notre site (en cours de création)

http://www.unioncandidatsemergents.org/

dimanche 25 février 2007

Question de langage

Qui se cache derrière une institution, une association, une multinationale… ?

Nous parlons de la responsabilité (ou de l'irresponsabilité) des multinationales (et de diverses institutions ou groupements). Derrière une multinationale, il y a des femmes et des hommes, des dirigeants. Ne serait-il pas mieux, faute de les nommer (ils sont souvent très discrets), de parler de la responsabilité (ou de l'irresponsabilité) des DIRIGEANTS des multinationales, des DIRIGEANTS syndicaux, des ELUS (Parlementaires, Conseillers généraux…) des assemblées... Cela personnifierait les décisions en appuyant fortement sur le fait que se sont bien des êtres humains qui sont derrière toute décision, toute action.

« La Commission européenne a décidé que... » NON, la Commission n'est qu'une personne morale, elle ne peut pas par sa nature immatérielle faire quoique se soit, se sont bien les personnes qui la composent qui décident de... Bien sûr, quand nous disons "Commission européenne", nous pensons bien que se sont des individus qui se cachent derrière... mais n'est-il pas plus clair (et plus responsable) de le dire !?

Ce n’est pas la faute d’Exxon si nos plages ont été polluées, c’est la faute aux êtres humains qui ont agit (à différent échelon, depuis le Dirigeant suprême d’Exxon, jusqu’aux bureaucrates qui ont tamponné les autorisations de naviguer) en sorte que le bateau souille nos côtes.

Humanisons notre langage, ne diluons plus les responsabilités dans des institutions spectrales. Appliquons-nous à dire « les Commissaires européens, les responsables syndicaux, les élus parlementaires, le Commandant du navire, les agents contrôleurs, …, ont décidé que… ».

Ce ne sont pas les États Unis d’Amérique qui ont déclenché la guerre en Irak, c’est bien le Président BUSH (celui-là, nous le connaissons !) et ses associés qui ont mis à feu et à sang l’Irak ! Même si une majorité d’Étasuniens était partisane de l’intervention militaire en Irak, c’est bien le Président qui a décidé…

La morale de cette histoire : c'est l'Homme, lui-même et rien que lui même, qui décide de faire, de défaire ou de ne pas faire.

Daniel LACROZE-MARTY
25 février 2007